Le chien est un inquiet. Toujours sur la défensive, il ne se repose jamais. Sans cesse sur le qui-vive, il garde... Le chien est renfermé. Il ne s'extériorise que rarement et seulement quand il estime que c'est nécessaire. Il est têtu à l'extrême et sait ce qu'il veut. Souvent cynique, on le craint pour ses remarques acerbes et désagréables.
Le chien aura quelquefois tendance à se noyer dans les détails, à critiquer à tout propos et hors de propos, à chercher la faille d'une façon systématique. En réalité c'est un grand pessimiste et il n'attend rien de la vie. Contre l'injustice, il réagit toujours avec courage. Il est un peu blasé, mais son esprit critique, son sens du ridicule et son indéniable grandeur d'âme le sauvent de la mesquinerie.
Cet être associal déteste les rassemblements de foule. Sentimentalement il a l'air assez froid, mais cette apparence est trompeuse : il est seulement inquiet et il doute sans cesse de ses sentiments comme de ceux des autres. Malgré tous ces défauts, les traits les plus nobles de la nature humaine se trouvent réunis chez le chien. Loyal, fidèle, honnête, il a le sens profond du devoir. On peut compter sur lui. Il ne trahit pas. Mieux que quiconque sait garder un secret. Sa discrétion est absolue. D'ailleurs il déteste les confidences en général pour les faire comme pour les recevoir.
Sa conversation est banale et quelquefois même il s'exprime mal. Il est rarement brillant. Mais son intelligence est profonde et personne ne sait écouter comme lui. Le chien inspire confiance et cette confiance est méritée. Il fait toujours son possible pour les autres et son dévouement peut aller jusqu'à l'abnégation. Les gens le tiennent en général en haute considération. Ils ont raison car il le mérite.
Tout le long de l'histoire, les champions de la justice ont toujours été des chiens. Toute injustice révolte le chien et il ne prendra pas de repos avant d'avoir tout fait pour y remédier. (Brigitte Bardot, née en 1934, a fait une campagne en faveur des animaux dans les abattoirs.) Le chien souffre qu'il y ait des pannes, des chômeurs, des guerres, des bombardements, il souffre de la faim dans le monde, il souffre pour ce qui s'est passé, pour ce qui se passe ou pour ce qui risque de se passer. Fort heureusement le chien se fait rarement le champion des causes stupides... car, grâce à son acharnement, il l'emporte presque toujours.
Ce philosophe, ce moraliste, cet homme de gauche, n'est pas intéressé par l'argent. Il est généreux et désintéressé. Qu'il soit chien de luxe ou chien des mes, il est toujours un peu "cloche " et se passe facilement du confort matériel. Même s'il en profite, il n'a pas le goût du luxe. Cependant, s'il se trouve qu'il ait un besoin urgent d'argent, il est mieux que personne apte à s'en procurer. Ce chien loyal fera un bon leader dans l'industrie, un syndicaliste actif, un prêtre, un éducateur. Mais quel que soit son métier, il aura en lui un idéal profond et souvent original, Il saura manier les hommes si c'est nécessaire et les grandes nations seraient sages de s'attacher de tels hommes, car nul n'a comme eux une telle force de travail et une telle droiture alliées à si peu d'ambition personnelle.
Le chien aura quelquefois tendance à se noyer dans les détails, à critiquer à tout propos et hors de propos, à chercher la faille d'une façon systématique. En réalité c'est un grand pessimiste et il n'attend rien de la vie. Contre l'injustice, il réagit toujours avec courage. Il est un peu blasé, mais son esprit critique, son sens du ridicule et son indéniable grandeur d'âme le sauvent de la mesquinerie.
Cet être associal déteste les rassemblements de foule. Sentimentalement il a l'air assez froid, mais cette apparence est trompeuse : il est seulement inquiet et il doute sans cesse de ses sentiments comme de ceux des autres. Malgré tous ces défauts, les traits les plus nobles de la nature humaine se trouvent réunis chez le chien. Loyal, fidèle, honnête, il a le sens profond du devoir. On peut compter sur lui. Il ne trahit pas. Mieux que quiconque sait garder un secret. Sa discrétion est absolue. D'ailleurs il déteste les confidences en général pour les faire comme pour les recevoir.
Sa conversation est banale et quelquefois même il s'exprime mal. Il est rarement brillant. Mais son intelligence est profonde et personne ne sait écouter comme lui. Le chien inspire confiance et cette confiance est méritée. Il fait toujours son possible pour les autres et son dévouement peut aller jusqu'à l'abnégation. Les gens le tiennent en général en haute considération. Ils ont raison car il le mérite.
Tout le long de l'histoire, les champions de la justice ont toujours été des chiens. Toute injustice révolte le chien et il ne prendra pas de repos avant d'avoir tout fait pour y remédier. (Brigitte Bardot, née en 1934, a fait une campagne en faveur des animaux dans les abattoirs.) Le chien souffre qu'il y ait des pannes, des chômeurs, des guerres, des bombardements, il souffre de la faim dans le monde, il souffre pour ce qui s'est passé, pour ce qui se passe ou pour ce qui risque de se passer. Fort heureusement le chien se fait rarement le champion des causes stupides... car, grâce à son acharnement, il l'emporte presque toujours.
Ce philosophe, ce moraliste, cet homme de gauche, n'est pas intéressé par l'argent. Il est généreux et désintéressé. Qu'il soit chien de luxe ou chien des mes, il est toujours un peu "cloche " et se passe facilement du confort matériel. Même s'il en profite, il n'a pas le goût du luxe. Cependant, s'il se trouve qu'il ait un besoin urgent d'argent, il est mieux que personne apte à s'en procurer. Ce chien loyal fera un bon leader dans l'industrie, un syndicaliste actif, un prêtre, un éducateur. Mais quel que soit son métier, il aura en lui un idéal profond et souvent original, Il saura manier les hommes si c'est nécessaire et les grandes nations seraient sages de s'attacher de tels hommes, car nul n'a comme eux une telle force de travail et une telle droiture alliées à si peu d'ambition personnelle.
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